Vue aérienne de l’embouchure de l’arroyo chinois prise par Raymond Cauchetier en 1955. On constate qu’en dépit d’une certaine modernisation (édifications des entrepôts Bastos à gauche et remplacement de l’ancien pont tournant par un nouveau) la structuration de l’espace demeure la même qu’au début du XXe siècle avec, d’une part une large appropriation de l’espace aquatiques touchant les berges par les sampaniers et d’autre part, la mise en valeur de l’espace terrestre adjacent par la création d’une voie de communication routière et un bâti largement orienté vers l’activité économique (hangars, bâtiments financiers,…). L’arroyo garde encore à cette époque son rôle de cordon ombilical entre Cholon et Saigon.
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